Elle n’irait plus à l’école ! Finito ! Même plus d’exercices à filler à Lachaz !
- Mais… rassurez moi docteur… elle peut toujours faire ses devoirs ?
- Oui mais le mieux est de la laisser tranquille, vous comprenez ?
- Heu… non.
- Mais c’est simple voyons !
Le docteur poussa un long soupir, qui irrita le père d’Alexia.
- Eh bien quoi !?
- Trop se concentrer risque de provoquer un afflux de sang au cerveau…
- Ah…
- Bon… je vais devoir jouer au foot ! Eh ben mince alors !
- Quoi !?
Le médecin eut l’air très fatiqué d’un coup.
- Jouer au foot aura le même effet !
- Mais… je fais quoi moi, maintenant ?
- Tu peux lire ou dormir… Ou jouer à des jeux vidéos…
Comme par magie, une étincelle s’alluma dans les yeux d’Alexia.
Et la même magie fit que ces parents poussèrent un long soupir.
- Ben quoi ?
- ….
- Heu… ils sont où mes vetements ?
- Là, à ta gauche.
En effet, les vetements d’Alexia étaient à sa gauche. Elle était un peu génée par le fait qu’elle ne les avait pas remarqué, mais elle avait envie de voir quelle mélodie sa boite à musique faisait.
Elle chercha un peu, présumant que ses parents – ou la personne qui l’avait trouvé – l’avait mis dans son pull.
Elle fouilla ses poches et fini par trouver la boite à musique. Elle la prit en main et l’observa pendant quelques minutes.
Ses parents comprirent enfin qu’ils devaient partir, et ils partirent
- Bon et bien… On reviendra bientôt ok ?
Sa mère regarda longtemps son père, qui soupira et fit :
- On a ta DS et un ordi portable…
- Merci !
Son père fouilla dans sa sacoche et les lui tendit.
- T’en prends bien soin et tu les perds pas, ok ?
- Ah ben… je sais, je vais peut-être aller me balader en foret aujourd’hui, et peut-être même aller en ville !
Son père lui lança un long regard, qui passait plusieurs messages du genre
« C’est une blague j’espère… » « T’as pas intérêt ! » « Reste dans ton lit ! » « Pète pas l’ordi ! » « Ne joue pas à des jeux sur internet, l’ordi est fragile ! » « Tu vas vraiment aller en ville ? »
- Du calme ‘pa ! C’était une blague !
Le regard de son père changea et devint :
« Tu me prends pour qui ? Bien sur que je le savais ! Rahalala, ces enfants ! »
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Ses parents étaient sorti, les médecins aussi.
Elle était seule.
Elle ouvrit avec précaution la petite boite à musique, et tourna la manivelle...
Suspense.... Que va t-il se passer... ?
La suite dans "Petite histoire sans titre(3)"!!
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