Avant, après (2)

Voici le deuxième ( et dernier ) épisode de "Avant, après" !
C'est une histoire d'espionage assez moyenne dans sa VO, mais le nouvelle version sera mieux.
Admirez...
Avant

-OUI!Je le veux!Mr,je ferait tout pour me ratraper.Mr Cailwat supliait,a genoux le policier.Celui-ci eut apparament une idee car il sourit.Il avait une bonne idee,tres bonne.La
preuve,ilavanca d'un pas decide,celui d'une personne fiere au point de se vanter de tout ce qu'il avait.Arrive devant son superieure,il lui parla d'un ton inaudible,secret.Le superieur aquisait souvent.Pierre se leva et regarda son pere dans les yeux.Pierre avait alors 4 ans,mais il comprenait parfaitemerntce qui se passait;son pere etait un criminel.Pierre etait la,dresse.Lui avec ses petits cheveux bruns comme tout son systeme pilaire.Comme ses yeux,ceux-ci soit riyaient avec malice ou pleuraient avec,comme toujours de malice.Il etait malicieux,vous l'avez compris.Son pere etait l'exacte replique de son fils sauf qu'il etait capricieux,ambicieux et,surtout cupide.La piece pu ils se tenaient etait sale,humide et elle sentait mauvais.Enfin,le policier prit parole;
-Mr Cailwat,savez-vous que vous avez ruine,vole et,eum eum,le policier toussa,pour cacher son embarra,et assassine vos amis et enemis?Etes-vous consient de votre demande et de vos gestes?Nous ne vous parnedonneront jamais.Jamais,vous m'entendez?Alors,comme vous-vous etes repentit,vous allez nous aider.Vous allez aider le G.I.G.N,puis le MI 6 et enfin au CIA.Mais,vous rapporterez TOUT les faits et gestes du MI 6 et de la CIA au G.I.G.N.Pierre avait tres honte de son pere.Il comprenait a present le divorce de sa mere.4 ans plus tard,son pere avait sentit qu'il etait trop vieux,mais il lui retait encore 8 ans avant la retraite,il aprit tout a son fils et 6 ans plus tard...ses craintes s'affirmait.
-Aujourd'hui,Mr Cailwat aux services francophone est decede.Son fils devra espionner une ou deux personnes,sans plus.A cet instant,Tom and co arriverent.Ils s'agriperent le pauvre Pierre.

Après

- Tout ce que vous voudrez messieurs!
Mr Cailwat était à genoux, les yeux larmoyants, devant les deux hommes. Ils étaient en smoking noir, les cheveux plaqués en arrières. Leur lunettes de soleil étaient signée Ray Ban.
Cool et stylé... se dit Pierre.
Mais il n'était pas le temps de penser style : c'était le temps des larmes, de la douleur, mais aussi de la trahison.
Oui, de la trahison, car le père de Pierre avait accepté de jouer à l'espion, et de compromettre la vie de maman, qui travaillait dans l'organisation. Mais Pierre ne le savait pas. Il trouvait d'ailleur positif que son père travaille avec ces gens cool - peut-etre que son père deviendrait cool?-
L'un des hommes en smoking s'avança, d'un pas sur, les yeux baissés sur la figure pathétique du père de Pierre.
- Etes-vous conscient que c'est dangereux? Peut-etre plus qu'aller en prison?
En Prison? Pierre sentit son univers se dérober sous ses pieds. Il savait bien que les méchants
allaient en Prison - mais son père n'était pas un méchant, non?
Ses yeux bruns, d'habitude toujours rieurs étaient maintenant équarquillés, et sa bouche était grande ouverte, comme un personnage de manga.
- Monsieur Cailwat, vous avez dirigé une section de la Mafia Belge pendant quelques temps, avant d'etre repérer. Vous avez tué pour vous protéger. Vous etes un assassin. Et nous n'aimons pas les assassins, Monsieur Caliwat. Mais nous travaillons avec eux, car il savent des choses. Car ils sont connus dans le métier. Vous allez travailler avec et pour nous, monsieur, mais ne vous attendez pas à de la pitié. Nous allons vous traiter comme si vous n'éxistez pas. Ne pensez pas que vous allez faire ami-ami avec nous. Compris?

-Il avait 5 ans à l'époque. Il était déja formé au métier. Nous pensons qu'il pourrait etre utile. Il a des qualités de déduction exceptionnelles. Il sera un atout.
-Et comment comptez vous le convaincre?
- Nous avons une idée. Nous allons...
Soudain, le service radio de Pierre se brouilla, crachota.
- C'est pas vrai! Ca arrive que dans les films!
Une voix grave, venant de son dos lui répondit.
- C'est vrai. Dans les films, ils n'utilisent pas de brouilleurs.
L'agent qui était derrière Pierre sortit un petit appareil de sa poche, et remit l'espèce de grosse antenne qu'il tenait auparavant.
- Venez. On l'a repéré.

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Alors?
Pas mal, non?

Ancienne fic

Voici la fic la plus complète que j'ai pu trouver. Elle date du 26/11/2006. Après celle-ci, c'est fini, plus de vieilles fic. Mais non, je plaisante! Il en reste une, qui date du 27/01/06, histoire d'espionnage assez malhabilement faite...

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-Papy! C'est vrai que tu as connu Tom le grand?

-Oui.

-Pourquoi il s'apelle Tom le grand?

-Tu veux entendre l'histoire ?

- Oh oui papy!

Prologue :

A Sabasto un garçon,Tom GrossDrache, douze ans, était pauvre. Il vivait dans une petite maison qui ne comprenait qu'une piece en bois. Les termites avaient ravagé l'escalier et les étages supérieurs. Son frere, Michel, son beau- grand-père, Yannick et sa grand-mere, Anguiela dormaient avec lui dans la pièce. Au cas ou on se demande qu'est-ce qu'un « beau-grand-père » voici leur arbre généalogique:

Jean ( 2020-2136)mort Anguiela (152 ans) Yannick(vivant, 101 ans)

/

John( 43 ans) Maman(???)

/ /

Michel (19 ans) Tom( 12 ans)

Sa mère (comme son père, John), avait disparue de tout horizon. Tom ignorait tout de sa mère. Il ne savait même pas comment elle s'appelait. Il avait assez de cette pièce, des gens, qui le traitait comme un esclave( il en était un, sa grand-mère l'a vendu quand sa mère est partie), cet a dire comme un animal. Il devait faire des corvées h-o-r-r-i-b-l-e-s, comme ramasser les excréments et nettoyer les égouts. Il devait se déplacer à quatre pattes, et, à chaque fois qu'il passait , on lui bottait les fesses, les jeunes sautait sur lui, jouaient à « hue dada! » et les plus riches pouvait( devait !) s'asseoir et cracher sur lui. On le traitait aussi de tout les noms comme «le mendiant des rues » ou « la grosse bouse de vache » et pire, « le stupide sale petit idiot de gueux ». Cela ne lui faisait ni chaud, ni froid depuis la découverte de son pouvoir. Tom s'en souvenait comme si c'était hier. Il avait grimpé le long d'un arbre mort au tronc rugueux pour attraper un oiseau, mais, l'écorce lui arrachait la peau et lui faisait mal. Il s'était donc arrêté sur une branche solide qui ne craqua pas quand il s'assit dessus mais, il s'aperçut qu'il ne se pouvait pas descendre et il resta coincé.

Son frère, passant par là avait ricané gentilement « Tu n'en serais pas si tu était pas aussi bete! »et il avait éclaté d'un rire torturant.

Tom avait réfléchit et, pensant que s'il était un beau chat à fourrure noir, au court poil soyeux, il aurait pu descendre, il hocha la tete pour soutenir l'idée et . . . le voilà devenu le chat en question! Et depuis un hiver, il rêvait des possibilité immenses que lui offrait ce merveilleux Don. C'est a dire fuguer pour devenir un des grands des Membres de la protection Universelle. Les membres était respectés et craint dans le monde entier. Ils devenaient soit Guerriers, soit Sorciers ou un Chevalier du Juste et du Bien. Etre Chevalier du Juste et du Bien voulait dire Sorcier ET Guerrier. Mais,pour cela, il fallait aller a Rubix avec deux autres personnes aspirant a devenir Membre de la protection Universelle, la ville la plus éloigne de Sabasto et. . . cela voulait dire réussir ou mourir dans d'atroces souffrances et cela voulait aussi dire passer dans toutes les villes et être recherché par les Gardes!Mais c'etait ca ou esclave. Tom avait fait son choix depuis...il ne saurait dire combien de temps. Mais, arrêtons le bavardage sur Tom et passons a l'histoire d' Astot. Les quelques terriens ont, il y quarante ans,en l'an 2136, échappés a la destruction de la terre et d'une partie d'Astot, la planète nuage. Cependant, la terre est toujours là, mais est extrement polluée. Les maladies les plus mortelles ce sont rependues sur la Terre, causant de nombreux dégâts : la terre est mauve, l'herbe noire et l'eau est verte et goudronnée. Les gens, qui etait au nombre de 30 millions en 2126, l'année noire, sont à présent a peine trois cent. En plus, environ deux cent cinquante personnes ont ete touchées par des radiations et sont génétiquement modifiées. Les seuls survivants sences sont partis. Les autres ( moins de trente ) sont restes sur la terre.

Chapitre Un : Le depart

Tom partirait ce soir, avec sa fronde, quelques bougies venant de terre, un vieux briquet, du beurre, un couteau neuf, dont la lame brille dans le noir, une bonne vingtaine de Kolomantaks(legume orange et vert au goût de patates et ressemblant a une poire), une épée roulliée( la sienne! ), Vif éclair et des selles, un couteau suisse, une carte et une gourde. Il envelopperait tout sauf le cheval dans un baluchon et il partirait vers Ronstsone. Exellent!Une foret le cacherait : les gardes n'aimaient pas les arbres, car ils avait peur d'esprits qui n'existaient pas. Et meilleur, une riviere traversait la foret ; il pourrait s'apprivoisoner et se laver. Tom resta éveillé toute la nuit, jusqu'à minuit. Il rampa par terre en tenant fermement son baluchon. La raison de son rampement etait simple : on ne l'entendrait pas et, de toute manière la pièce etait tellement petite qu'il ne tenait pas debout! En contournant les corps ensommeillés, il se demanda quelle réaction susciterait sa grand-mère et grand-beau-père. Ils se diront simplement : « Mais c'est très bien ca! Nous avons gagné 100 Daffoelard pour rien! En plus, il n'ira pas très loin à pied...Et à nous la récompense! » Tom secoua sa tete qui lui semblait très lourde, comme pour enlever cette vision d'horreur. Enfin, il etait arrivé à la porte. La porte en question etait rongée par les termites comme pour tout le reste de la maison . Tom avait aménagé une ouverture au bas de la porte en arrachant le bois qu'elles avait a demi rongé. Tom pouvait tout juste passer. En passant en dessous, il se coinça la poitrine. Pour la dégager, il s'agrippa fermement avec ses mains et tira légèrement sur la porte. Il dégagea sa poitrine, mais la porte grinça. Tom arrêta de bouger pour ce qui lui sembla cinq longues heures et non quelques minutes. Il souffla un peu, puis sortit dans l'obscurité la plus complète. Il regarda le paysage : les allées étaient à peu près droites et était faites de cailloux éparpillés par-ici et par-là. Des fois, des touffes d'herbes vertes dépassait de ce tapis gris. La fin du village était annoncée assez brusquement : tout à coup, le tapis disparaissait et était remplacé par des hautes collines. Juste à l'endroit de la séparation, il y avait un portail très petit, voire minuscule. Tom ne voyait que des silhouettes dansantes dans l'obscurité de la nuit. Il marcha et s'arreta devant une vielle affiche qui se balançait en grinçant. Sous ses baskets, l'herbe etait moelleusement aplatie. En haut, le ciel etait tout noir et faiblement éclairé par la lune. Tom avait longuement hésite : cheval ou vélo? même avec un VTT c'est assez dur de rouler sur l'herbe, alors qu'un cheval pouvait galoper sans s'arrêter. En plus, a vélo, c'etait lui qui se fatiguait, pas le velo. Il avait donc opté pour le cheval. Par contre, choisir le bon cheval n'était pas très dur. Il avait choisi un pur sang arabe, Vif éclair. Il entra dans l'écurie. L'écurie etait une grande piece en bois avec, sur le plafond et sur les murs, une peinture représentant un ciel bleu avec une soleil éclatant. Quelques cumulus se baladaient dans le ciel. Au sol s'étendait une clairière aux herbes blanches entouré par la foret.Au milieu il y avait une mare aux eaux verdâtres et peu profonde car on voyait tout les poissons. Au bord poussait de longs roseaux rouges. On voyait plus une plaque avec dessus :

Poème de J..n Gros.D..... :

RDV a la Clairière

Là ou les herbes sont, d'été et d'hiver

Toujours blanc,

Jamais rougis par le sang.

De .oh. ....s.rache

Bizarre...Celui qui avait écrit ca n'avait pas toute sa tete...Tom se ressaisit et se mit à marcher. Il marchait sur du foin a présent. Vif éclair était un jeune étalon tout noir. Il le sella, puis le prit par la bride. Ils sortirent de l'écurie. Tom calla confortablement le baluchon sur son épaule, cacha son couteau sur dans sa botte, ceint son épée a sa ceinture, sauta sur Vif éclair et partit de bon train hors du village. Vif éclair se mit au galop. Il s'acharnait contre les grosses pierres qui formait le chemin qui menait a la sortie de Sabasto. Tom frissonnait. On etait en hiver. Il galopa hors des grilles et regarda le ciel. Un pale soleil se pointait a l'horizon, dans la noirceur du matin, loin derrière les gros arbres touffus de la foret Alcmansde. Tom accrocha sa fronde a sa ceinture. Sa fronde n'etait pas comme nos frondes actuelles. C'était une fil noué qui, au milieu, avait une laniere de cuir cousue. Tom accrochait un fil a la pierre et écrivait parfois un message. Tom était plutôt instruit pour un esclave. Tom connaissait le Latin, les maths, l'art sacré pour les frondeurs. Il fallait connaître l'instant précis ou on devait lâcher le fil. Tom connaissait aussi l'escrime qu'il avait appris avec Jean, le forgeron. Jean lui avait donné son épée. Elle etait rouillée mais tranchante. Cela faisait six hivers qu'il s'entraînait. Tom n'avait que douze ans et il etait plutôt frêle en apparrance mais en vérité, c'etait un costaud. Tom se regarda. Comment un brun et frêle garçon pouvait devenir Chevalier du Juste et du Bien?Tom était arrivé devant la foret. Elle continuerait jusque Rindadatigulorma. Il pénétra dans la foret touffue dont on ne voyait pas le bout. Jusqu'avant, il n'y avait que des pavés et des cailloux a la pelle. Mais, maintenant, ils étaient devenus rares. Il n'y avait plus que les arbres, les buissons, l'herbe moelleuse, les animaux et lui. Il continua jusqu'au coucher du soleil et s'arreta devant un chêne. Il le palpa. L'écorce était souple et il pouvait facilement l'enlever et se faire une couche confortable après s'être transformé en souris. S'il se transformait en chat, il s'endormirait la majeure partie du jour et de la nuit. En restant tel qu'il etait il ne pouvait pas dormir la, or, c'etait une fort confortable couche. En chien?Trop grand. Il opta la souris, petite, discrète et elle, au moins, ne dormait pas toute la journée. Mais d'abord l'aménagement. Il descella le cheval et mit tout dans le baluchon. Puis, il grimpa dans l'arbre et s'arreta de grimper vers la troisième branche. Parfait : elle était courte et haute. Il recourba l'extrémité de la branche, puis il descendit. Il pris les rênes, qu'il n'avait pas encore utilisé, les mit au cheval et remonta accrocher les rênes a la branche. Il visionna une souris, mais, il pensa à son pere, le vrai. Il etait Sortcier. Soudain, Tom sentit un léger picotement qu'il ressentait quand il se transformait. Ce léger picotement s'étirait s'il grandissait ou l'écrasait quand il rapetissait. A présent, il aurait du se sentir écrasé. Mais, en vérité, c'était le contraire. Donc, il grandissait!Il regarda ses petites mains s'elargir, grandir, mais, quand la métamorphose s'arreta, elles étaient toujours aussi agiles. Mais. . . il se pinça. Oui c'etait les mains de John, son pere! Donc il pouvait se transformer en animaux et en gens! Pratique quand on fugue!Bon, se n'etait pas tout. Il fallait dormir! Il visualisa une souris grise,blanche et grande. Il descendit, s'agrippant avec ses petites pattes au tronc. Mince! Il n'avait pas prévu que sa serait aussi lisse! Il dégringola et tomba au pied de l'arbre. Il monta, et, non sans difficulté arriva au trou, vérifia que son baluchon etait la et se roula dans le tissu.

Il ne se doutait pas que les gardes arriverait si tot et si nombreux. . . C'est normal, c'est un nouveau.

La disparition soudaine de son pere jouait encore sur son esprit. Il se réveilla, au cri d'un loup solitaire . Le ciel etait encore pale et le soleil encore cache. Une regeler brise courait dans l'air. Tom etait plein de courbatures. Il se demanda comment il avait dormi avec tant de courbatures aussi longtemps. Il avait dormi pendant six heures! Ce n'etait pas autorise avant!Il se retransforma en humain. Apres quelques exercises, il se rendit compte qu'il avait faim. Tres faim. Il sortit chercher des branches sèches et deux pierres. Des qu'il trouva les pierres et assez de branches il retourna au « campement ». Quelques frottements plus tard il rôtissait trois Kolomantaks. Il chasserait en chemin. Apres avoir fini ses Kolomantaks, il partit ( sans oublier apres etre grimpe a l'arbre, enlever les renes et redescendre). Il chercha la riviere et, quand il la trouva, la suivit. Bientôt, il aperçut un Rokola, une poule-agneau. Sa tete etait poule et son corps agneau. Tom tira sa fronde, visa le cou, exacte, fit tourner la fronde et lacha la corde du milieu, attachée a la pierre et. . . vlan!Le Rokola tituba et tomba. Tom continua sa route. A un moment, la route tourna a gauche, mais Tom continua tout droit. Deux jours passèrent, monotones. Le quatrième soir, il s'arreta, cuit le Rokola et une Kolomantak. Apres avoir mangé et bu il dormit par terre, environ quatre bonnes heures puis repartit au galop. Là, la foret etait moins dense car il etait ( bientôt ) arrivé. Tom entendit un bruit. Le vent?Non, certainement pas. Ca formait des mots. . . On chuchotait! Tom entendit presque rien mais. . .

-Cet individu est dangereux! C'est un esclave. . .

-Et alors! Sais-tu que le roi est manipule par sa fille? C'est elle qui règne sur les sept monde, pas Messire le roi!

-Attends! On approche! A l'attaque! C'est lui! L'esclave déchu!

Il approchèrent. Contrairement au apparrances, ils etaient cinq! Deux etait a sa droite et deux a sa gauche. Ils s'approcherent. Le premier etait assez jeune : il avait dans les dix-neuf ans. Le deuxieme etait tres petit et vieux. Les deux autres etait jumeaux. Et le chef etait vers ses 30 ans. Il avait des moustaches ainsi qu'un bouc sur son menton. Les gardes s'approchérent en sifflant et en disant des choses comme :

- « Ce n'est pas gentil de partir mon ami », puis ils souriaient, laissant entr'apercevoir des dents pointues et riant avec un voix rauque.

Tom lanca son cheval vers le chef puis, il replia ses jambes au niveau de leurs poitrines et les relacha! Ils etaient assomés. Mais, il en restait un. Tom tira son epée et sabra l'air. Il attaqua par le haut, le chef para et contre-attaqua. Tom para et contre-attaqua. Mais, il suait dejà! Ca continua longtemps, quand, soudain, le chef lanca un botte que Tom ne connaissait pas. Tom leva son epee et. . . brisa l'autre!Tom leva son poing et l'abbatit sur la tete du chef. Il s'en sortirait avec quelques dents en moins et se reveillerait avec une bonne migraine. Tom lui pris sa bourse. Elle contenait 10 000 Daffoelard! Le jacpot! Il galopa et ariva devant une auberge. Il se transforma en chef des gardes. Un probleme : un liquide poisseux coulait sur sa joue. Il passa un doigt dessus et s'apercut que c'etait du sang!Il regarda autour de lui en quete d'un tissu inexistant. Tom ne pouvait s'essuyer sur ses vetements : c'etait sa seule paire de vetements et, il les portraient jusqu'à saon arrivee chez les Membres de la protection Universelle. Mais, la, il vit la route pavee de Ronstsone et une auberge. Il entra dans l'auberge commanda une chambre.

Chapitre Deux : l'arrivée à Ronstsone

* * *

CAMILLE :

Mini prologue :

Camille est une fille qui a des pommettes biens rouges, plus rouges que des cerises, sa peau est plus blanche que la laine d'un mouton, elle a les yeux plus bleu qu'un beau jour sans nuages et a des cheveaux plus dorés que de l'or.Elle s'apelle Camille Richondau, issue d'une famille hybride elfique très riches, elle reve depuis qu'elle est née de devenir connue, pas pour sa beautée, mais pour sa connaissance de l'arc à flèche. La seule solution ? Devenir Membre de la Protection Universelle. Comme notre ami Tom, quoi. Justement, elle vient d'arriver à Ronstsone...

J'entrais dans une ville. Humpf! Quoi de plus normal qu'une ville bondée? J'ai hate de connaître l'aventure et mes compagnons de route. Je suis moulue par ce trajet à cheval. Oh non! Voilà que cette mule s'arrete de nouveau! Selon mon plan, j'arrive bientôt a une librairie. Tiens, là voilà! Je vais acheter le journal ( 1 Daffoelard ) + un VTT ( 100 Daffoelard ) + des victuailles ( 68 Daffoelard ) + un arc ( 300 Daffoelard ) fait = 469 Daffoelard. Bien! Il m'en restera 31. Tiens « Un esclave s'est enfui. RETROUVEZ-LE! » dans Plein OAS. Je vais l'acheter...Je lut le journal. Voici son contenu :

PLEIN OAS EDITON SPEICIALE NUMERO

2

ESCLAVE EN FUITE

Il y a quatre jours, un esclave nomé Tom s'est enfui de la maisonnée familiale. Il a neutralisé 5 gardes sans aide et a battu le chef de l'expédition.

« C'est un fou furieux, affirme le chef, il nous a attaqué, d'abord les gardes, puis moi.Il n'a meme pas bougé pour les mettre à terre. Il était là, tranquile, comme si il se baladait et, SHPANG! En un éclair, mes compagnons étaient au sol. Puis, il a sauté à terre, et s'est tranquillement approche et a cassé mon épée en deux. Jamais je n'ai connu d'échec jusqu'à maintenamps.Mais...la rumeur court qu'il pourrait battre le roi... »

En effet, faites attention, c'est un fou furieux. RETROUVEZ-LE!

L'esclave en question ressemble à ceci :

Vous le trouverez dans les

villes, car il doit se nourrir,

comme tout les etres

humains. Faites attention :

c'est un voleur doublé d'un

tueur. Si vous le voyez,

allez au poste de garde le

plus proche. Nous vous

rappellons que le dernier

match de péliamoc◙ était

exellent pour Saphirubiém

( 4-0 contre Sabasto ).

Mouaif. Allons acheter mon arc a l'armurier. Mais, quelle surprise!

TOM

Tom examinait l'auberge, qui, apparrament, s'appelait « Les Marraudeurs ». Quel nom exitant!Les Marraudeurs etaient une guilde oposee aux Membres de la protection Universelle. Tom se souvint avoir lu un livre sur eux. . . Il disait quelquechose comme ca :

Les Membres de la protection Universelle et le Marraudeurs sont encore et toujours en guerre. Pour le bien de l'Empire, les Membres de la Protection Universelle ont place notre bien-aime le Roi sur le trone. Les Marraudeurs essaiyent de le renverse, heureusement, sans succes. Les Marraudeurs tirent leurs pouvoirs de leur Esprits et non ( les idiots! ) de leurs Force. Leurs Esprits peuvent decuple leurs forces, bouger des objets, mais, pour cela, il faut patienter des ans, alors

◙ péliamoc: le péli est un animal croisé d'un pégase ( cheval avec des ailes ) pour pé et d'une licorne( cheval à corne ) pour li. Le amoc est un sport qui ressemble au hockey terrien, sauf que la pallette vole et qu'on la propulse en air.

qu'en utilisant leur Force (materielle) ils font la meme chose sans etudier!Cependant, la legende dit

que les Marraudeurs ont d'autres pouvoirs. . . Mais ce n'est qu'une legende!

Mais, ou en etait-t-il ?Ah, oui! Il etait a la description de l'auberge. Le mur et le sol étaient noircient par des champignons comestibles! J'examinait les clients, peu nombreux : ils étaient trois. Le premier avait tout d'un pirate : il portait un chapeau avec une tete de mort brodee dessus. Mieux encore, il etait borgne. Bon. Passons au dexieme client. Tom ne savait pas a quoi il ressemblait : il etait vetut de noir et il avait bande chaque membre de son corps. Comme l'homme invisible, mais en noir.Le troisième.Nnnnoooonnnn! Tom etouffait un cris de surprise. Il se pincait, puis il ferma les yeux et les reouvrit.Cette fois encore il essaya d'etouffe un autre cri. Mais, cette fois il n'y parvint pas parfaitement : on entendit un « Nnnooonnn! ». Heureusement pour lui, son cri etait assez faible.Au fait, vous vous demendez surement pourquoi il criait a tout bout de champ. Bien, attachez votre ceinture :il avait vu Michel! Tom se precipita vers lui :

- « Michel! Ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu! Qu'es-ce que tu faisait?On t'attendait a la maison! »

-«Qui es-tu?Que me veut-tu? » me dit-il.

- « Je suis Tom.Tu sais, ton frere. »dis-il en me tappant le front. Mince! Il avait oublie : il ressemblait au chef des gardes.Il prit donc mon visage normal ; une tete ovale, des cheveux bruns coupe court, une expression serieuse.

Puis, enfin, apres une mine epatee a moitie controlee, il me repondit :

– « Qu' es-que t'en sais? T'es qu'un esclave pour eux.»me repliqua t'il sobrement.La, Tom lui tira la langue.Enfin, il s'enquit de sa formation.Michel resta perplexe, plonge dans le vide, puis redescendit sur terre.Son expression sobre etait a present grave, plus mure.Il me repondit d'un ton faussement enjoue :

– « Oh! Ca! Tout va tres bien! Les instits' on dit que j'etait exellent en...euh... » il toussa,«combats. Ils ont dits que je devait m'entrainer en magie. Oui! C'est ca.En magie.»

– Je vous epargne le reste, qui, de mon point de vue n'est pas interressant.C' est plutot style : Oh! Tu savait que patati et patata sont en-nuy-eux? La totale! »

–

Tom avait envie de lui dire : « Et toi! C' est pire! »Mais, il se retint.Apres tout, Michel avait surement des mauvaises notes, donc il ne fallait pas trop l'ennuyer ou le contredire. Enfin, Tom lui demandait pourquoi il etait la.Il lui repondit que...

–

– Et puis zut!C'est plus drole que vous le sachiez :

–

– « Je cherche quelquechose pour les Ma...euh...pour les Membres de la Protection Universelle. C'est confidentiel, mais... parce que t'es mon frere, je te dit ca.Ne le repete a personne : c'est Top Secret. Ah! J'oubliait : bonne nuit! Et! Tom! Revient! Je suis dans la chambre trois. »

« Oui, oui, c'est ca, bonne nuit mon gars, pensait Tom, mais, 'tention! Je suis pas bete a ce point. Tu begaye trop.Bon, c'est bien beau tout ca mais il faut dormir. »

Tom s'aprochait de la responsable de l'auberge et commandait une chambre.La chambre quatre, si vous voulez savoir.Enfin, un lit! Ca fait des hivers que Tom n'a pas dormi dans un lit.Il s'endormis rapidement en tournant et en retournant dans ma tete une question : Pourquoi est-ce que Michel etait bizarre?Que lui etait-il arrive?

Le matin, en se reveillant, Tom se rendit compte que il s'obsitnait a ne vouloir sortir du lit!

Mais, il devait voir son frere et lui soutirer des infos. Aujourd'hui, Tom avait fait une reve très étrange:

Je suis dans la chambre. Une voix douce m'appelle. Je me retourne et là, surprise, je vois un veil homme, tout ridé. Ses cheveux blancs et soyeux sont tellements longs qu;il ne finissent qu'à son genoux. Il a une barbe blanche toute aussi soyeuse. Sa voix, bien qu'il eut l'air d'avoir 150 ans, était d'une douceur et fraicheur incroyable. Tout en me fixant d'un air qui vous laisse penser qu'il vous lit comme un livre ouvert il me dit :

« N'aie pas peur Tom. Je suis ce que pense. Je te donne une indice. Viens avec moi, apprendre mon art secret. Viens avec moi... »

Sur ce, il s'éloignat. J'était surpris par la vigueur avec laquelle il marchait. Ses enjambées était longues. Je le suivit. Il s'arreta enfin dans un pré. Puis il dit anxieux :

« Nous avons plus de temps...Je reviendrais...Je reviendrais... »

Ses derniers mots tournait et tournait dans ma tete... Quand Tom se réveilla, les mots dansaient toujours dans son esprit. Il examinait sa chambre : elle etait assez large et comfortable. D'un coup d'oeil expert on voit que c'est une chambre en Merlanus Carlhanus Grandius Na Pitro, nom Asthotien. Au cas ou vous ne saviez pas, c'est le nom de nom de notre planete. Pas Asthotien mais Astot . Ici, il n'y avait pas aucun champignon. Tant mieux. Bon, avant d'aller dans la chambre voisine, il fallait avoir un planning. Alors... moi, Tom, je suis poursuivit : autant mieux acheter du materiel : une cape, une couche, une armure legere et aller au Voyant D'Armes celui-ci pouvait vous dire le nom de vos armes et aussi de vos montures. O.K. Cela serait simple. Tom sortit de sa chambre et entra dans un couloir tout noir. Ici et la, on pouvait voir des chandelles qui diffusaient une faible lueur. Il toquait a l'entree de la chambre trois. Personne ? Il entra. Et la, il vit quelquechose qui le choqua : la chambre etait vide! Tom ne devais plus perdre de temps dans cette auberge. Il paya, puis s'enfuit. Il se mit a cheval et parcourut les derniers metres qui le separaient de Ronstsone.Il penetra sans probleme les grandes grilles roulliees de la ville. Et en entrant, il ce qu'etait une ville. Oui, oui. Il avait beau etre né a Sabasto, il n'avait jamais vu une ville. Alors decrivons. Avant meme d'etre arrive, Tom sentait deja les effluves epicees du marchands d'epices. Mais, jamais il n'aurait devine qu'en entrant leur odeur acre serait si forte! Franchement, j'avais envie de vomir, mais, passons. Autour, Tom voyait des maisons delabrees et des magasins. De loin, deja, il apercut l'armurier. Il 'entra. Tom ne peux pas vraiment decrire, car, les armes et armuires lui bouchait le passage.Il regarda le marchand et s'apercut que ce n'etait tout autre que Jean, le forgeron! Bien bati, il mesurait facilement deux metres! Il avait toujours sa barbe a collier rousse. Quand il le vit il s'ecria :

– « Mais c'est Tom, mon ami! » il baissa le son, « Tu as reussi a t'echapper? Chapeau! Tu veux quoi ? »

Tom lui dit que il avait seulement besoin d'une armure, et il lui demanda si c'etait lui le Voyant d'Armes. Il lui repondit que, oui, c'etait lui. Tom lui presenta son epée. Jean rigola et dit qu'il pouvait l'ameliorer gratuitement! Tom accepta puis il demanda a Jean quel etait le nom de l'epee. Il la toucha et dit qu'elle n'avait pas de nom. A la place, il donna a Tom une épée dorée très tranchante ornée d'un rubis, d'une émeraude et d'un saphir.

-Et la, vous allez comprendre pourquoi vous et moi ne pouvons pas devenir un Voyant d'Armes. Voilà ce qui ce passa :

Jean entra en transe, ses yeux s'eteinirent, se reallumerent et prirent une couleur verdatre. Sa voix, robuste et forte devint molle et lente. Enfin il énonca :

« Comment t'appelle-tu? »

Sa voix devint couinante :

– « Mon nom est Tranche Dragon. »

Jean prit plusiers minutes à redevenir normal.Tom lui demanda une armure.Jean montra alors une panoplie de combat. Il donna a Tom une cape et capuche bleu foncé immense ou il pouvait s'enrouler dedans, une armure argentee ornee de l'ancient symbole ( deux epees qui se croisent avec, au milieu un diamant et a ses cotes un dragon et un loup )qui couvrait son torse, son ventre et une partie de son dos , Tranche Dragon, une cotte de maille noire et un étui pour son couteau ainsi qu'un fourreau qu'on peut porter en bandouilllere.Tom mit tout cela et, à l'instant meme une fille étrange apparut ( la fille étrange, c'est Camille ). Tom eut immédiatement l'impression qu'il l'avait deja vue. Jean le présenta à la nouvelle. Apparrament, elle s'appelait Camille Richondau. Et, comme le hasard fait bien les choses, elle aussi voulait devenir Membre de la Protection Universelle, autrement dit MPU. Bonne nouvelle! Un ( ou plutot une ) de trouv・ Tom et Camille se regarderent longuement. Tom admirant et regardant son pantelon en velours rouge, raiy・dor・et sa chemisette bleu clair, elle observant l' habit de guerre de Tom. Puis, elle se tourna vivement, laissant ses cheveux monter et descendre, faisant une magnifique courbe dor馥. Ils sortirent ensemble du magasin. Camille tremblait. Tom lui demanda pourquoi. Elle lui dit alors :

ｫ Lit ceci. Tu comprendras. Est-ce que...est-ce que c'est vrai que tu as vaincu mon p鑽e? ｻlui demanda t-elle en lui tendant le journal. Tom secoua la tete. Enfin, c'騁ait un pur hasard! En plus, c'騁ait eux qui ete tombe sur lui et c'etait eux qu'il lui avait saut・dessus! Tom lui dit cela. Elle dit alors ｫ Lit. Ah oui! Je m'en souvient... ｻElle 騁ait devenue toute pale. Elle recula discr騁os...Tom lut ce journal. Il 騁ait remplit de sottises. En le retournant il vit ceci:

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C'騁ait aussi valable pour eux. L'ar駭e Matia 騁ait ・Rubix. Restait le dernier membre.Quelque chose gratouillait d駸agr饌blement Tom. Il regarda : il y avait une 騁iquette. Dessus il 騁ait 馗rit :

Pour Tom Le Grand

RDV à la clairière

Là ou les herbes sont, d'été et d'hiver, Mathias

Toujours blancs, Longequeue

Jamais rougis par le sang Rebouteur Sorcier

C'est quoi ce charabia? Bon. R馭l馗hissons... Une clairi鑽e... Facile! Apr鑚 Ronstsone il n'y a que des clairi鑽es!Mais les gardes n'y vont pas car ils ont peures des gnomes et farfadets...L・ou l'herbe est toujours blanche. Facile! Il y en a quelque unes! (Et je les connait toutes)Mais jamais rougies par le sang...L・ c'est impossible! Mais son cerveau a fait TILT! Tom connaissait ce po鑪e... un petit d騁ail lui 馗hapait. Il voyait ・quoi elle ressemblait cette clairi鑽e! Elle 騁ait peinte sur le mur de l'馗urie! Retourner l・bas?! Impossible... Trouver cette clairi鑽e? Plus probable... Camille reculat, prete ・partir car elle pensait sons doute que Tom etait un fou, un criminel mais il lui dit :

– Ecoute un peu la v駻it・des fois! Est ce-que tu est prete ・馗outer toutes leurs idioties?

Je pensait que tu avais un cerveau a peu près correct, pas gaté-pourri! Ecoute moi et pense ce que que TU veux. Tes idées, c'est leurs pensées! Cria-t-il, explosant de colère. Puis il se calmait, lui demandais ou trouver un petit bar sympa ou il pourrait lui raconter son histoire. A la fin, il lui donnait ce qui lui restait de ces 10 000 Daffoelard. Elle me dit qu' il ètait sympa ( et honnete ) de lui rendre ces Daffoelard. En contre partie elle lui donnat un livre qui parlait de Stratèwargame, un jeu de stratègie. Voici un extrait :

« Prenez vos pions et tirez le parchemin coincé dans le socle et lisez le parchemin. Exemple avec

Denothorton :

A(attaque) : 150 D(défense) : 50 PV: 505 contre Atraftor: A: 125 D :100 PV :320

Denothorton attaque. On soutrait 100 ( D de Atraftor) de 150 ce qui fait 50. On soutrait 50 de 320 ca fait270 PV qui restent. Quand on a plus de PV bye-bye! » Et elle lui donna Denothorton, Atraftor, Demachuis, Zwordkimtor, Trenglorio, Swenbachio ainsi que leurs armées. Elle avait aussi Notrohtoned, Rotfarta, Siuhcamed, Rotmikdrowz, Oirolgnert, Oihcabnews les pires ennemis des miens. Elle me donna aussi un bestiaire. Toutes les personnes et créatures de ce jeu avaient réellement existé ! Elle m'apris que, tous les ans, il y avait une tournois de Stratèwargame a Stario. La prime était de 35 000 Daffoelard! Je dit a Camille :

-Allons voir ce Mathias, puis nous irons a Stario et enfin a Rubix! Pas de propositions? Non? On y va !

Chapitre trois : Attention, chercheurs de clairières!

Elle acheta chez Jean une tunique de guerre, un arc en corne de licorne pris son cheval et nous acheta une tente, un hamac, des sacs de couchage, des couvertures et des vetements chauds. Nous gardames nos equipements guerriers au cas ou. Puis nous longames le fleuve pendant des jours, pataugant dans la boue quand le cheval ne pouvait pas nous garder sur le dos au risque de nous enliser. Et alors que nous arrivions au clairières, dix gardes arriverent. Je tirait Tranche Dragon et descendit du cheval et Camille tira son arc. Je dis d'un ton tremblant :

-N'aprochez pas ou je vous decoupe en rondelles!

-Et moi chuis un Kolomantak pourri! Tu 't prend pour qui gamin?

Tom fit tournoyer par cinq fois l'epee, hachant ceux qui etaient trop pres. Un garde essaya de decapiter Tom mais celui-ci se glissa entre les jambes du garde et l'assoma. Camille tirait si vite que son bras etait devenu flou. A chaque tir un garde tombait. Je remontait et nous partimes, apres que j'eus pris une ou deux bourses. .Nous arrivames aux clairières si attendues. Mais, bizzare, il y avait des pattrouilles de garde. Certes, je faisait de l'escrime depuis 6 annees mais j'avais un profond respect de la vie, contraire immediats des idees des marraudeurs, ces pestes... Je me demandait ou etait la clairière blanche la plus proche... Nous fouillames tout le jour sans rien trouver. Degoute, je me reposait contre un tronc de bouleau et passait ma colere dessus quand un rouleau tomba. Je le saisis et le de roulai :

« Toi qui a trouve ma cachette, tu ne survivra pas... Sauf l'............ .. .. ........ ... ..... .. .. .. ..... .. ......... ! » ( les points sont des lettres illisibles ) La clairière...pour fourmi! La ou l'herbe est blanc...La mousse est blanche...d'ete ou d'hiver la mousse ne change pas de couleur.... Celui qui a fait ca etait pas bien dans sa tete... J'interpelai Camille et lui montrai le fruit de nos recherches.

Quand, soudain, la terre s'ecarta et...

Chapitre quatre : Le sorcier fou!

On tombait!Le temps s'arreta et on tombait. Je m'ecrasai contre le sol et perdis connaissance.

Quand je me suis revellier, j'examinait le cave ou je m'etais ecrase : des murs bruns, profonds, creuse par l'eau. Au milieu se trouvait celui qui s'appelait Mathias Longequeue. Ses dents faisaient au moins 10 cm! Ses oncles faisait 5 bons cm! Ses cheveux etaient plaques en arriere. On aurait dit Dracula! Il s'avanca, faisant trainer une longue cape derriere lui :

-Tu as trouve ma cachette. Heureusement, car j'avais faim vous avez l'air d'etre apetissant, la jeune fille et toi. Cependant, toi, le mec, t'es pas l'esclave par pur hasard?

-GGGGGGGGRRRRRRRRRRRRR!!!!!

-Mauvaise reponse...Peut-etre la derniere.

- ... ( C'est Dracula ce mec!? Pensai je )

-Non, je suis pas encore Dracula. Mais, rassure-toi mon petit. Je vais bient l'etre...apres avoir bu ton sang. Tu as l'air fort appetissant.

-...( J'ai ete traite comme un animal mais pas comme un plat! )

-Pas comme un plat, voyons...Comme un hors d'oeuvre.

-...( Tho )

-Je te donne une chance. Celle de te battre. Comme un idiot.

- ...D'...D'acodac men!

-!!!!...Bien...hors d'oeuvre!

Je degainai mon epee et tourna autour de ｫ Dracula ｻ . Je concentrai mon energie dans mes mains et mes pieds. Il me regarda, joignit ses mains qui commencait a devenir oranges, il les separa et....

Une boule de feu jaillit, immense soleil s'approchant de ma tete. Je voulais bouger mais... µ

---------

Et c'est la fin!

Avant, après

Vous trouvez ma fic pas mal, mais, vous vous demandez à quoi ça ressemblait avant?

Eh bien, voici une mini fic qui date du 25/01/2006 :

Je chevauchais,ce n'ait pas penible mais je m'arraitais.Le donjon vieux et delabre m'attendais.Au diable mes compagnons!Je m'enfuiyais accompagne par Hibou,John et Amelie.Nous chevauchions.

-Arrives?C'est quand qu'on arrive?C'est quand qu'on arrive?C'est quand qu'on arrive?C'est quand qu'on arrive?questionna Amelie.

-Attends et voila!dit Tom d'un ton dur.Ils entrentaient dans un village,le hameau Allion.Je me retournait,regardant de droite a gauche.Une pencarte dressee non loin de la disait avec,certes beaucoups de fautes d'ortographe; Le for er courageu chevaler.Je n'etait pas surpris,tout les pauvres pauvres font des fautes.Par contre,mes compagnons Amelie,Ben etJohn etait plus que surpris.Oh,je les pardonnent;ce ne sont que des jeunnots.On entra,j'achetait pour nous quatre un equipement utile;une cotte de maille dont les boucles etait en acier, une petite dague,un bouclier commander par mon pere et un casque a rabats avec des fines lamelles de cuir.Ils prirent longtemps avant de comprendre que mon pere etait sur son lit de mort,qu'il avait paye d'avance mon equipement,mais bon! pardonnons les pauvres.Tout le monde sauf Amelie ne recut pas cet equipement.Enfin,oui a tout sauf a la dague.Je lui aprendrait a construire des arcs plut tard.Nous repartimes dix minutes plus tard.Le paysage,avant peuple d'arbres etait,a present morne et triste.Nous n'allions pas perdre du temps;nous allons chercher mon pere et...c'est tout.Mon cheval hennit et se mit au galop.D'une main experte j'essayait de calmer cette pauvre bete mais elle etait devenue folle.Je sautais en m'accrochant au renes;mon cheval s'arreta,parfaitement consient que j'avait fallit l'etrangler.Mais,je ne ferait jamais ca.Oh,non!J'aime trop les animeaux!Et,quand meme,il m'avait coute 1200Deniers,alors...

Après, revu spécialement pour vous :

Je chevauchais depuis plusieurs heures maintenant, mais la fatigue ne m'atteignait pas encore. Je ne pouvais pas m'arreter - si je le faisait, la douleur viendrait, et je ne pourrais plus repartir.

Je vis à l'horizon une silhouette incongrue se découper ; j'étais bientot arrivé au donjon.

John et Amélie m'attendaient là bas, et je ne voulais pas les décevoir en arrivant en retard.

Hibou, dont le nom était éloquent, n'arretait pas de m'embeter à coup de :

-Arrivés?C'est quand qu'on arrive?C'est quand qu'on arrive? On est bientot arrivé? C'est encore loin?

Je me mordis les lèvres, qui étaient déja en sang, et je dis d'un ton dur :

- Nous y voila! Tu peux te la fermer, maintenant?

En effet, nous étions arrivés à Allion, un petit village qui ne se trouvait qu'à une dizaines de minutes du donjon.

Je ne pouvais me résoudre à lacher Hibou, en espérant que la bestiole se débrouille toute seule, aussi je cherchais une auberge.

Un panneau attira mon attention. Il était peint en vert, jaune, rose et noir, de façon à etre le seul visible.

Je lus avec quelques difficultés les lettres, peintes en jaune.

- Leuh for é coraje chevalé

Dans mon for intérieur, je pleins les pauvres qui avaient écrit sur la pancarte. Je vis virevolter mon cheval, en quete d'une armurerie. Ce fut en vain que je cherchais ; ils n'ont pas d'armurerie dans les villages.

Je m'approchais donc de l'auberge, et quand je vis l'homme soul qui le dirigait sortir se ruer en dessous des sabots de mon cheval, je décidai de ne pas m'attarder dans les environs.

Ce fut sans problème que je l'évitais, mais mon cheval avait été surpris, et se cabra, manquant de me désarçonner. Hibou s'envola, puis quand il vit que j'avais repris le controle, il revint sur mon épaule.

Je dus tirer d'une manière un peu trop sècher, car mon cheval essaya de se cabrer à nouveau. Je me mordis la lèvre à nouveau, et quelque chose me dit que ce ne serait pas la dernière fois.....

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Alors?

Voyez vous la différence entre avant et après?

De toute façon, quelle que soit la réponse, j'ai deux vieilles mini-fic que je poster et corriger donc...

- Elle devra rester une semaine ici, et plus ou moins 3 jours à la maison...

Alexia se réveilla juste à temps pour entendre cette phrase.

- Ah! Elle s'est réveillée! Je vais vous laisser pendant 5 min. , puis je reviens.

- On est le combien? demanda Alexia d'un voix faible.

- Le lundi 10/06 et il est...

Son père consulta sa montre, mais la mère d'Alexia le devança.

- 17h49. On a eu tellement peur... mais tu as été chanceuse...

- Tu as frolé la fracture. Heureusement que David passait par là! dit sa mère avec un grand sourire lorsqu'elle mentionna David.

- David? dit Alexia, en fronçant les sourcils.

- Un jardinier. Sans lui, tu serais... sa mère baissa les yeux, mais Alexia comprit le reste de la phrase.

- Ah... fit-elle, peu engagée.

Soudain, alors qu'elle ressassait les derniers évenements, elle se rendit compte que....

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La personne qui devine à le droit à... heu... rien =D

Mais bon... _ _" la seule personne qui lit ce blog n'arrive pas à poster...

Petite histoire sans titre

Voici une petite nouvelle toute bête qui est "fantastique" dans l'esprit Chair de Poule.
Vu que j'avais pas d'inspiration pour les noms, j'ai fait des remodelages du nom - Lachaz fait Chazal, Chenfrat fait Franchet, ect, ect

Chapitre 1
Alexia regarda par la fenêtre du cours de maths. Dehors s'étendait une vaste pelouse verte et au milieu, une espèce de vieille chaussette noire.
Comment ça se fait qu'il y a des chaussettes perdues partout dans l'école? se demanda Alexia.
Soudain, la chaussette bougea. Alexia arrêta d'écrire la définition du théorème de Thalès pour examiner "de plus près" l'objet. La chaussette - mais ce n'était pas un chaussette vu que ça bougeait - se dirigea vers le grand bâtiment C - celui où se trouvait Alexia.
Quand la chose ne fut plus qu'à quelques mètres de l'école, Alexia se rendit compte que c'était un chat - un très beau chat d'ailleurs.
Son pelage était totalement noir, sauf sur le poitrial de l'animal, qui était blanc. Il tenait quelque chose entre ses dents.
Une souris ou un mulot à coup sur, se dit Alexia.
Encore une fois, elle avait tort : c'était un vieil appareil, peut-être un appareil photo jetable qui avait été jeté - mais au mauvais endroit.
- Mademoiselle Rossignol! Pourriez vous nous décrire en quelques mots le théorème de Thalès?
Alexia s'éclaircit la voix, puis dit :
-Le théorème de Thalès ou le théorème d'intersection est un de géométrie qui affirme que, dans un plan, une droite parallèle à l'un des côtés d'un triangle sectionne ce dernier en un triangle semblable, dit Alexia, sans hésitation.
Heureusement pour elle, c'était la dernière chose qu'elle avait recopié.
- Très bien. Et mademoiselle... voyons voir... Chenfrat ?
La voisine et meilleure amie d'Alexia leva la tête et dit :
- Oui madame Lachasse ?
Madame Lachaz soupira. Lucile Chenfrat avait toujours des problèmes de prononciation avec son nom ( on se demande pourquoi xD )
La sonnerie retentit, sauvant Lucile à la dernière minute d'un énième reproche sur la façon de prononcer le nom de sa prof de maths.
Tous se levèrent le plus vite possible, essayant de partir avant que la prof ne leur donne dix exercices à faire pour le lendemain.
- Où allez vous comme ça? demanda madame Lachaz d'un ton perçant.
- En cours de français madame, dit Vincent S. ( il y avait 3 Vincent : Vincent Stabin, dit Stab', le provocateur, Vincent Uhte, toujours tête en l'air ou plongé dans sa musique Hard Rock et Vincent Rishef, qui faisait régulièrement du rugby, mais qui était dans la classe des A ( Alexia était en B et fière de l'être ))
- Avant que vous ne partiez, je vais vous donner quelques exercices à faire. Prenez votre agenda, je dicte! Livre de Géométrie, page 144, exercices 44 à 53 pour demain, le 10.06.09
Toute la classe soupira en cœur.
Alexia copia rapidement tout cela, puis dit à Lucile qu'elle arriverai en retard au cours de français - elle voulait savoir ce que le chat avait dans sa gueule.
Elle sortit en marchant à toute vitesse du cours et se dirigea vers l'endroit où le chat se trouvait.
Elle fouilla dans tous les sens, mais ne trouva rien.
Il a du le reprendre, se dit elle.
Brusquement, son pied heurta un truc par terre et elle tomba la tête la première.
Elle se releva, et essuya son front qui était totalement couvert de boue, puis elle regarda derrière elle pour voir quelle était la s******** qui l'avait fait tomber. C'était une petit boite à musique. Elle la prit et fit tourner la manivelle.
Une mélodie entraînante en sortit, mais Alexia sentait qu'elle était de plus en plus fatiguée.
Puis elle fit que sa main était rouge - rouge sang.
Oh m****!
Et elle tomba par terre à nouveau, mais cette-fois, elle devrait attendre de l'aide...

Tadam! XD
Bref, la suite bientot,
Gildaar'k

Bienvenue

Bienvenue sur Fictions, le blog qui contient toutes les histoires diverses que j'ai ( et que je vais ) inventer.
J'espère que ça vous plaira,

Gildaar'k