Avant, après (2)

Voici le deuxième ( et dernier ) épisode de "Avant, après" !
C'est une histoire d'espionage assez moyenne dans sa VO, mais le nouvelle version sera mieux.
Admirez...
Avant

-OUI!Je le veux!Mr,je ferait tout pour me ratraper.Mr Cailwat supliait,a genoux le policier.Celui-ci eut apparament une idee car il sourit.Il avait une bonne idee,tres bonne.La
preuve,ilavanca d'un pas decide,celui d'une personne fiere au point de se vanter de tout ce qu'il avait.Arrive devant son superieure,il lui parla d'un ton inaudible,secret.Le superieur aquisait souvent.Pierre se leva et regarda son pere dans les yeux.Pierre avait alors 4 ans,mais il comprenait parfaitemerntce qui se passait;son pere etait un criminel.Pierre etait la,dresse.Lui avec ses petits cheveux bruns comme tout son systeme pilaire.Comme ses yeux,ceux-ci soit riyaient avec malice ou pleuraient avec,comme toujours de malice.Il etait malicieux,vous l'avez compris.Son pere etait l'exacte replique de son fils sauf qu'il etait capricieux,ambicieux et,surtout cupide.La piece pu ils se tenaient etait sale,humide et elle sentait mauvais.Enfin,le policier prit parole;
-Mr Cailwat,savez-vous que vous avez ruine,vole et,eum eum,le policier toussa,pour cacher son embarra,et assassine vos amis et enemis?Etes-vous consient de votre demande et de vos gestes?Nous ne vous parnedonneront jamais.Jamais,vous m'entendez?Alors,comme vous-vous etes repentit,vous allez nous aider.Vous allez aider le G.I.G.N,puis le MI 6 et enfin au CIA.Mais,vous rapporterez TOUT les faits et gestes du MI 6 et de la CIA au G.I.G.N.Pierre avait tres honte de son pere.Il comprenait a present le divorce de sa mere.4 ans plus tard,son pere avait sentit qu'il etait trop vieux,mais il lui retait encore 8 ans avant la retraite,il aprit tout a son fils et 6 ans plus tard...ses craintes s'affirmait.
-Aujourd'hui,Mr Cailwat aux services francophone est decede.Son fils devra espionner une ou deux personnes,sans plus.A cet instant,Tom and co arriverent.Ils s'agriperent le pauvre Pierre.

Après

- Tout ce que vous voudrez messieurs!
Mr Cailwat était à genoux, les yeux larmoyants, devant les deux hommes. Ils étaient en smoking noir, les cheveux plaqués en arrières. Leur lunettes de soleil étaient signée Ray Ban.
Cool et stylé... se dit Pierre.
Mais il n'était pas le temps de penser style : c'était le temps des larmes, de la douleur, mais aussi de la trahison.
Oui, de la trahison, car le père de Pierre avait accepté de jouer à l'espion, et de compromettre la vie de maman, qui travaillait dans l'organisation. Mais Pierre ne le savait pas. Il trouvait d'ailleur positif que son père travaille avec ces gens cool - peut-etre que son père deviendrait cool?-
L'un des hommes en smoking s'avança, d'un pas sur, les yeux baissés sur la figure pathétique du père de Pierre.
- Etes-vous conscient que c'est dangereux? Peut-etre plus qu'aller en prison?
En Prison? Pierre sentit son univers se dérober sous ses pieds. Il savait bien que les méchants
allaient en Prison - mais son père n'était pas un méchant, non?
Ses yeux bruns, d'habitude toujours rieurs étaient maintenant équarquillés, et sa bouche était grande ouverte, comme un personnage de manga.
- Monsieur Cailwat, vous avez dirigé une section de la Mafia Belge pendant quelques temps, avant d'etre repérer. Vous avez tué pour vous protéger. Vous etes un assassin. Et nous n'aimons pas les assassins, Monsieur Caliwat. Mais nous travaillons avec eux, car il savent des choses. Car ils sont connus dans le métier. Vous allez travailler avec et pour nous, monsieur, mais ne vous attendez pas à de la pitié. Nous allons vous traiter comme si vous n'éxistez pas. Ne pensez pas que vous allez faire ami-ami avec nous. Compris?

-Il avait 5 ans à l'époque. Il était déja formé au métier. Nous pensons qu'il pourrait etre utile. Il a des qualités de déduction exceptionnelles. Il sera un atout.
-Et comment comptez vous le convaincre?
- Nous avons une idée. Nous allons...
Soudain, le service radio de Pierre se brouilla, crachota.
- C'est pas vrai! Ca arrive que dans les films!
Une voix grave, venant de son dos lui répondit.
- C'est vrai. Dans les films, ils n'utilisent pas de brouilleurs.
L'agent qui était derrière Pierre sortit un petit appareil de sa poche, et remit l'espèce de grosse antenne qu'il tenait auparavant.
- Venez. On l'a repéré.

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Alors?
Pas mal, non?